échos et espagne

C'est sortie aujourd'hui. Pour mes amis, c'est clair que la soirée de samedi n'était pas ce qu'ils considèrent "normal". Trace m'a dit que c'était rafraîchissant mais ils se sentaient mal à l'aise. Ils pouvaient pas mettre le doigt dessus, mais ils se sentaient un peu bizarre. Pourtant, tout le monde leur a parlé. Tellement que j'étais l'accessoire sur le fauteil et me suis mise à papotter avec d'autres gens. Cette réaction ne me surprend pas vraiment, je m'y attendais un peu: personne ne fumait, t'avais 8 bouteilles de vin dont 5 étaient fermées à la fin de la soirée et puis les gens se comportaient autrement. Pour completer ce monde à l'envers (à l'endroit?), la dame que je voulais qu'elle évite lui écrit désormais des mails. Très marrant.

On en a reparlé ce soir avec Leens au café en rigolant. D'ailleurs, on en a profité du café pour planifier notre voyage espagnol et parler des avantages et inconvéniants du vélo par rapport à la marche. Si tout va bien, on fera 500km en vélo ou 250km à pied en six jours suivi de deux jours sur la playa espagnole. Trop de la balle - mais il faut s'y préparer à l'avance. On s'est fixé une date début mai - c'est tard par rapport à nos situations professionnelles respectives, mais au moins, on a l'occassion de conditionner nos corps pour cette forme de soumission physique. Avant cette date, j'ai deux courses, donc au programme pour la miss: discipline!

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PS: Ah, puis ouais, nous sommes parties toutes contentes et avec les mains pleins - assez pour un peu de repas et plein de desserts pour les 80 SDF du centre derrière la gare Cornavin. (Décidemment, c'est vraiment un monde à l'envers, ici ils jettent en masse, là-bas ils crèvent de faim.)