pudeur professionnelle
Des repères, je vais en avoir énormément besoin dans les projets sur lesquelles je suis déjà en train de travailler. Très prochainement, coodination entière de la fête de fin d’année oblige, je vais pas mal sortir pour voir des gens, locaux, employés etc. Tâche première, trouver un lieu. Et je n’arrive pas encore à comprendre la géographie de la ville – les quartiers chics, les quartiers moins tranquilles etc. Donc, je bûche la-dessus, et oui, ça fait partie de mon travail. :) Mais, bon, il n’y a pas que ça, sinon, je serais en train d’écrire des mails ou surfer sur le net toute la journée. Non, plusieurs projets déjà ont déjà été entamés, mais, ratification des documents sur le secret professionnel interdit le partage des infos sur mon blog. Disons que le travail pour l’instant est exigent, la quantité à rattraper énorme mais l’expérience on ne peut plus formatrice !
Laissons tomber ces histoires de travail pour un moment. Parlons plutot de mon grand amour. En fait, j’ai pas pu résister à la tentation, je suis allée chercher Odette ce soir après le travail. Toutes les voitures ce soir qui restaient à cette heure tardive dans le bâtiment, étaient des voitures françaises. Et O avait passé trois longues nuits dans le grand parking à 15 mins de l’apart. Seulement accompagnée en journée d’immenses voitures effrayantes, Odette s’est réjouit de sortir de là. Faut la faire rouler un peu, et en plus, je veux m’assurer qu’elle démarre encore. J’ai rebranché sa petite batterie, et c’était repartie... après quelques moments d’hésitation, tout de même. Il faut la rassurer! Une fois arrivé, on a tourné autant qu’on avait roulé pour trouver une place de parking en ville, mais bon, pas grave. C’était des grandes retrouvailles. Il ne faut plus que je retrouve la ruelle dans laquelle elle est cachée demain matin ! Bon weekend à tous !
1 Comments:
At 10:29:00 AM, euphonies said…
Regarde sur ton blog alors. :)*
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