euphonies' excitement!

The journey of a girl struggling to follow God's principles in a bottom-line world.

Freitag, November 12, 2004

pudeur professionnelle

Premier mail du matin, ce matin, une collègue de travail m’invite ce weekend à faire le marché aux puces dans le centre ville avec elle et de venir chez elle à sa soirée raclette demain soir. Je suis vraiment touchée. Il y a une piscine tout près de la boîte, et elle veut que je vienne avec elle deux midis par semaine. Ça, c’est cool aussi. Apparement, il y a aussi un mur d’escalade pas très loin, mais bon, ça doit faire cher la pause midi. Ceci dit, c’est bien de connaître un peu les activités à côté du travail, car je rentre tard le soir, et risque de ne pas avoir une vie privée si je ne commence pas maintenant à découvrir un peu. On verra ce weekend ce qu’on trouve à faire. J’ai déjà imprimé une marche à pied à faire autour de la ville, du grand lac etc, pendant deux heures. Ça peut être intéressant pour prendre des repères.

Des repères, je vais en avoir énormément besoin dans les projets sur lesquelles je suis déjà en train de travailler. Très prochainement, coodination entière de la fête de fin d’année oblige, je vais pas mal sortir pour voir des gens, locaux, employés etc. Tâche première, trouver un lieu. Et je n’arrive pas encore à comprendre la géographie de la ville – les quartiers chics, les quartiers moins tranquilles etc. Donc, je bûche la-dessus, et oui, ça fait partie de mon travail. :) Mais, bon, il n’y a pas que ça, sinon, je serais en train d’écrire des mails ou surfer sur le net toute la journée. Non, plusieurs projets déjà ont déjà été entamés, mais, ratification des documents sur le secret professionnel interdit le partage des infos sur mon blog. Disons que le travail pour l’instant est exigent, la quantité à rattraper énorme mais l’expérience on ne peut plus formatrice !

Laissons tomber ces histoires de travail pour un moment. Parlons plutot de mon grand amour. En fait, j’ai pas pu résister à la tentation, je suis allée chercher Odette ce soir après le travail. Toutes les voitures ce soir qui restaient à cette heure tardive dans le bâtiment, étaient des voitures françaises. Et O avait passé trois longues nuits dans le grand parking à 15 mins de l’apart. Seulement accompagnée en journée d’immenses voitures effrayantes, Odette s’est réjouit de sortir de là. Faut la faire rouler un peu, et en plus, je veux m’assurer qu’elle démarre encore. J’ai rebranché sa petite batterie, et c’était repartie... après quelques moments d’hésitation, tout de même. Il faut la rassurer! Une fois arrivé, on a tourné autant qu’on avait roulé pour trouver une place de parking en ville, mais bon, pas grave. C’était des grandes retrouvailles. Il ne faut plus que je retrouve la ruelle dans laquelle elle est cachée demain matin ! Bon weekend à tous !


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